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Rock

La « Sauce Piquante » de Théo Lawrence

Théo Lawrence, musicien franco-canadien, dévoile son deuxième album blues rock influencés par les plus grands. Il a été enregistré entre République à Paris au studio Delta et le Sud de la Géorgie par Mark Neil dans son propre studio. Le titre de l’album «  Sauce Piquante » vient d’une chanson de Jimmy Newman. Originaire de Gentilly, Théo Lawrence, du haut de sa vingtaine, a tout d’un grand du blues

Dans le morceau «  Petit cœur » il se dévoile, et il est charmant avec dans son «  Come on Back to my Love » qui montre bien son attachement à la musique américaine. «  Judy Doesn’t Live There Anymore » est un titre doux et envoutant. Mais son cœur est aussi en France, du côté de Bordeaux avec «  Baby Let’s Go Down to Bordeaux » et son rock puissant. Ce qui est aussi le cas avec «  Petit Cœur ». «  The Worst In Me » est une invitation à danser et à se laisser porter par cette mélodie envoutante. Comme c’est aussi le cas sur «  Evangeline ». Les orchestrations sont bien choisies et les textes nous racontent vraiment une histoire. Même s’il est français, dans sa musique il y a ce mélange entre la Louisiane et le Texas, il a aussi un talent pour l’écriture, un peu comme Bruce Springsteen.

«  Prarie ire » est une ballade en douceur, une balade funeste tout comme «  Lonely Together » alors que «  In the Back of My Mind » est une douceur exquise avec une mélodie bien plus présente. Sur «  N. O ; I.S.E » est un morceau de rock presque made in U.S.A, au rythme fin et entraînant. Sa voix est envoutante et nous donne une autre vision de sa musique. «  Adeliat » est une ballade qui sonne rock tout en restant très doux, qui évoque la douceur alors que «  They Don’t Like Me », est une ballade douce, très douce où Théo laisse éclore son talent.

Un très beau deuxième album, qui laisse éclore un talent brut, pur et unique. Après un concert complet au Balajo, il sera de retour à Paris le 28 janvier 2020 à la maroquinerie.

« Disaster Serenades » by Parlor Snakes

Credit Photo : Antoine Doyen

Le merveilleux troisième album de Parlor Snakes, désormais duo envoutant composé de Peter et Eugénie, est un bel album de rock très entraînant. Un groupe franco-américain dont on risque d’entendre encore longtemps.

On le constate dés les premières notes de «  Darkness Ride » avec ses riffs de guitare et sa voix envoutante. Ça rugit et on pose déjà les bases. «  Das Meer » sonne frais, il y a une ligne mélodique assez rapide et puissante, la voix d’Eugénie est douce, envoutante, elle se cale à merveille sur les notes de guitare.

«  Wonderland » nous replonge dans le pays des merveilles. Sur une note de rock, avec des riffs de guitare. Le pays des merveilles version rock’n’roll «  Marc’s Bolan’ Fifth Dream » est une chanson douce, en hommage au chanteur anglais Marc Bolan, chanteur, guitariste qui a été le leader du groupe de rock T.Rex. Avec des notes aussi douces que mélancoliques.

«  Délicate Creature » est un titre psycho-trip avec des sonorités assez originales, le morceau pourrait nous dépeindre Vénus, délicate créature totalement envoutante, auquel personne ne résiste. Un peu comme ce titre finalement. «  Serpent » est un morceau en français, un texte en français, ça fait du bien, surtout avec l’album de Parlor Snakes. D’ailleurs, musicalement, on sent vraiment l’influence du rock anglais.

«  End of Loves » parle d’amour, d’un amour inconditionnel, d’un amour fou mais plutôt sur la fin. Sur une mélodie très lente, et tantôt très rapide, on sent la voix bien présente un peu comme sur «  Nylon and Milk » parle de douceur, la douceur de vivre, l’émerveillement.

C’est une chanson douce, et ça met un peu de douceur dans cet album, par opposition avec «  Frequency » qui est un pure morceau de rock , avec des riffs bien précis, des notes très brutales Eugénie prouve encore une fois qu’elle est une vrai rockeuse et qu’elle assume.

L’album de Parlor Snakes, c’est un disque rock, puissant, envoutant. Pour découvrir l’album en live, RDV le 8 octobre au Point Ephémère.

Dop Lemon au Trianon

Dop Lemon a investit le Trianon pour un show puissant et des riffs de guitare bien présentes. Le musicien australien originaire de Sydney nous a proposé un concert rock entre le psyché et le folk, avec une puissance très rock’n’roll.

En première partie Pantin Plage au Trianon, un groupe parisien à l’univers planant et atypique. Les musiciens et la chanteuse invite au voyage. Ils viennent nous présenter leur album «  Parasol » aux influences très américano latines, comme la chanson «  Val Paraiso », une ville du côté du chilli, il y a comme un air de vacances.

Dop Lemon , on le connaît aussi sous le nom d’Angus Stone, la moitié masculin du duo Angus & Julia Stone, originaire de Sydney, qui attire beaucoup de monde.  Après «  Lady of the Sunshine » en 2009, le musicien sort celui-là qu’il surnomme «  Smooth Big Cat ». Pour cette première date française, Angus Stone affiche complet, et c’est  bien mérité.

D’ailleurs, à ce concert, on croise beaucoup d’hollandais et d’anglais. Parce que le langage du rock’n’roll parle à tout le monde.  L’entrée est spectaculaire, l’artiste et ses musiciens entrent sur du rock’n’roll psyché, on commence avec «  Stonecutters » et les guitares rugissent immédiatement. Avant que le public ne se mette à danser sur «  How many Time », en plus d’être un bon chanteur, c’est un très bon guitariste. «  Hey You » nous fait danser et nous envoute. Les chansons ont plus de peps, et elles paraissent beaucoup plus rock’n’roll sur scène «  Coyote » envoi sur scène, c’est une vraie folie. Et les musiciens aiment siffler la mélodie. On a d’ailleurs aussi un aperçu de chacun avec un solo de guitare vraiment classe. On a des frissons, que ce soit sur «  Her Little Baby » ou «  Fuck Things Up ».

Le titre «  Salt and Peppers » est une vrai bombe sur scène, et ça envoit en live. L’apothéose vient sur «  Honey Bones » où le rock’n’roll reprend le dessus sur scène. IL y a une vrai ambiance sur « Home soon » on a des frissons tout au long du morceau et le public est carrément réceptif. Il y a une vraie ambiance dans la salle qui surchauffe. Parce qu’Angus est rock’n’roll, il s’allumera même une clope à la fin de la chanson. Rappel sur un succès «  Uptown Folk » pour un joli moment avec le public.

Des concerts de rock, comme celui-là, ça devrait être tous les jours, parce qu’il en faut et que ça fait du bien. On en a vus des concerts de rock au Trianon, mais celui-là était le plus mémorable.

« Tied Up in Red « by Bell Baronets

Bell Baronets est un jeune trio jeune qui fait du rock’n’roll. Silvan Gerhard-Guitar,
Michael Kühni-Bass et Claudius Ammann-Drums. Ils présentent un nouvel album «  Tied Up in Ried ». Ils combinent le rock des années 70 aux influences d’aujourd’hui.

Dans cette lignée rock’n’roll avec des jeunes qui ont du potentiel, Bell Baronets propose un rock entraînant et novateur, avec quelques belles influences. Ils font du rock, chantent en anglais et ça se sent dés le premier morceau «  Closer ». «  It’s Not because of you » sonne comme un murmure, un murmure qui se transforme en cri, avec des riffs de guitare puissants. On a des frissons en pensant à la voix et aux riffs. «  Rattle My Cage » sonne comme un appel, un appel très entraînant avec des voix, plus qu’un appel, c’est une invitation à la danse. Avec une mélodie assez présente, et un rythme qui se cale dessus.

«  Gold in them hills » est une balade avec une voix assez douce et un rythme lent, une invitation au clair de lune, mais la guitare rugit dés le refrain. C’est un changement brusque de mélodie, mais la voix ne semble pas s’en soucier.

«  Inked » est un morceau acoustique où la voix s’exprime en douceur, mais très vite, on monte vers une folie exquise des riffs de guitare. «  Shoot my Heart » possède une mélodie rapide et nous plonge dans le désert californien avec des riffs de guitare qui sonnent comme des appels de phare. Et des voix qui hurlent, sur un rythme très rapide. «  Volta «  nous rappel un peu «  Rape Me » de Nirvana, mais là le chanteur parle d’une femme, une femme qui n’est pas seine. C’est le genre de thème qui peut tout à fait être abordé dans une chanson de rock.

«  Craving » est un hymne à la colère et à la liberté, mais avec un soupçon de tentation et de folie, comme une invitation à sombrer doucement entre l’enfer et le paradis. «  Ain’t No Match » nous donne des frissons avec sa ligne mélodique de guitare, ses accords, et sa douceur dans la voix du chanteur. Mais sur le refrain, on dirait un peu les Arctic Monkeys avec la voix d’Axel Turner. «  Driven » est une ballade rock, les voix nous entraînant dans un tourbillon de folie et de mélodies avec ce riff frissonnant, dansant et presque fou. C’est du rock, c’est du bon rock, et ça envoi.

Bell Baronets est un groupe à suivre sans hésiter. Et leur album sortira le 27 septembre.

Waxx à la boule noire

Waxx est déjà connu de certains. Que ce soit en première partie de gros artistes, avec 30 STM, également connu pour avoir travaillé avec les L.E.J. Dans le public, on aura croisé Béatrice Dalle et Juliette, la violoncelliste de L.E.J. Premier concert en tête d’affiche, il n’a aucun mal à remplir la salle.

Premier concert en tête d’affiche, la boule noire est complète, avec un premier album «  fantôme ». Il commence avec le morceau «  Runaways » et dés les premières notes, le public est présent. Sur «  Lil One » la voix nous transporte, c’est la folie sur «  Rasheed Wallace » on voit que l’artiste se donne vraiment sur scène, il y a une belle énergie et le public est réceptif. Le public a l’air bien fou, mais il y a une bonne ambiance et ça, c’est cool.

«  LTQT » voit le rappeur Georgio débarquer sur scène, l’un des rappeurs qui dynamise la chanson française aujourd’hui et il est bien présent, il me le feu sur scène, comme lors d’un concert de rap, mais la guitare en plus. «  Hotel Room » nous plonge dans un univers musical proche de celui de Nirvana tout en douceur. «  Hayastan » nous embarque dans une faille spatio-temporelle en musique, le public est carrément connecté.  On frissonne. Et ça fait du bien de voir un vrai concert de rock, c’est un vent de fraîcheur dans le monde d’aujourd’hui. C’est un vrai concert de rock avec la chaleur et les riffs de guitare qui vont avec.

Entre les riffs de guitare et les pogos dans le public, on sent la chaleur d’un vrai concert de rock, un vrai show qui marque les esprit. Les musiciens de son ancien groupe le rejoignent sur scène pour jouer «  Ponk » accapela puis avec la guitare et le public. C’est la folie sur «  Lost «  et «  Paradise » chaque chanson a son petit coup de cœur, son petit plus en live. Waxx joue de la guitare aussi et sa manière d’en jouer est assez fascinante : c’est un rockeur comme on en voit peu.

«  Night and Day » pour finir le concert, tout en douceur, on s’éloigne doucement de la folie avec une descente dans le public pour chlore la soirée, mais ce fut un vrai beau moment de communion.

 

Pour un 1 er concert, c’était la folie, avec un public déjà fidèle et un univers bien à lui, qui nous laisse entrevoir un talent brut.

5 raisons d’aller voir Pete Doherty and The Puta Madre en concert.

Est-ce qu’il faut vraiment avoir une bonne raison pour aller voir Pete Doherty en concert ? Beaucoup vous diront que non. A vrai dire, l’enfant terrible du rock est devenu si iconique qu’on va à son concert plutôt pour assister à un vrai concert de rock. Avec le groupe The Puta Mardre, l’artiste vient présenter son nouvel album. Même à 40 ans, Pete Doherty demeure l’enfant terrible du rock et un adolescent éternel qui ne voit pas les années passés.

Parce que d’abord, toutes les générations se croisent à ces concerts, Peter n’hésite à chanter plusieurs chansons extraites de différents albums.

Parce qu’en vrai, les nouvelles chansons rendent bien en live, comme c’est le cas de «  Narcissitic Teen Makes First XI » ou encore « Whi’s Been Having You Over »

Katia, son ex-compagne, joue du synthétiseur dans le groupe, mais on sent vraiment la présence de Pete le rockeur, c’est lui. Il sait aussi bien jouer les morceaux des Babyshambles, les Libertines, ou encore en solo, Pete Doherty reste lui-même.

Parce qu’il nous donne des frissons et que ça fait du bien de sentir les riffs de guitare vibrer au Bataclan.

Parce que «  Fuck Forever » est un hymne vraiment punk. D’ailleurs, quand Pete le jouera sur scène, le public fera un pogo.

Alors, on vous voit bientôt à un concert de Pete Doherty ??

Pete Doherty and The Puta Madres

Pete Doherty nous propose encore autre chose musicalement avec des choses vraiment différentes et des morceaux plus ou moins long.

D’habitude, une chanson ne dure pas plus de 3 minutes, alors que d’autres comme Shoreleave dure 05 :12, et nous permet de l’entendre chanter en français. Alternant avec l’anglais, sa voix est envoutante, et se mélange à divers instruments.

Musicalement, on avait souvent été habitué à du rock anglais alors que là, on note plusieurs influences musicales venus d’un peu partout dans le monde. Avec des morceaux comme «  The Steam », on a un peu de violon qui s’accorde à merveille avec la voix. Il y a des morceaux beaucoup plus doux, qui sont des ballades comme « Travelling Tinker », avec une touche de violon, c’est aussi le cas sur «  Someone to Else » et ça donne une nouvelle couleur musical à l’album, la voix s’accorde à merveille. On peut aussi l’entendre sur «  Paradise Is Under You Noise » avec plus de douceur.

C’est tout nouveau que Pete Doherty mette du violon dans ses nouveaux morceaux, mais c’est une bonne chose, ça modernise cet instrument. «  All at Sea », 1 er morceau de l’album, est vraiment du Pete Doherty, avec une touche nouvelle. Encore une fois, Pete Doherty sort de sa zone de confort et nous propose quelque chose de nouveau.

On peut le voir sur « Who’s Been Having You Over » qui sonne rock avec la voix enfantine de Peter et la guitare nous donne des frissons. Mais « Narcissistic Teen Makes First XI » sonne comme du Doherty, en plus frais, plus entraînant. Il y a cette douceur qui n’appartient qu’à lui, et la guitare se joint à l’harmonica. «  A fool There Was » sonne comme une invitation, une envie folle, une berceuse aussi. La chanson a plusieurs significations, avec cette envie de vouloir aller dans différents univers musicaux.

« Punk Buck Bonafide » nous apporte une envie d’en découvrir un peu plus sur le musicien ; mais sur le thème d’une ballade cette fois.

Un album qui prouve que l’artiste aime aller faire de nouveaux univers. On est impatient de le voir en live. RDV le 15 mai au Bataclan.

Teacup Monster : un trio de charme

Teacup Monster est un groupe de rock qui a du talent à revendre, composé de Tip, Simon et Vic, les trois compères ont plus d’un tour dans leur sac.

L’année dernière, le groupe avait sorti un premier album «  Take it or Leave It », sorti en 2018, plus qu’impressionnant et dansant qui avait permis d’acquérir un public. Recette réussie parce que la première boule noire a eu un franc succès. Depuis, Teacup Monster a aussi joué au Download en 2018 et c’est bien mérité.

Des plateformes digitales à Youtube, Teacup Monster a plus ou moins compris comment attirer un public. D’ailleurs, sur youtube, le groupe propose un documentaire pour découvrir la conception de l’album, comment il a été produit et fabriqué. Le groupe fait toujours parti de nos coups de coeur, et ça fait du bien d’entendre du vrai rock aujourd’hui.

Teacup Monster, c’est une identité, un visuel, un œil qui observe et c’est un nom à retenir.

Ce sont des jeunes qui en valent et ont de l’énergie à revendre. Teacup Monster, un nom à retenir.

Le rock électrique de Black Tropics

Le groupe de rock d’origine de Lauzanne Black Tropics s’est formé en 2017 et se compose de trois musiciens : Yvan, Chris et Alex. Leur premier album «  Black Tropics » est à découvrir, et on peut vous dire qu’on l’a adoré. Leur univers tropical accompagne un son rock brut qui casse les codes. C’est un trio basse-batterie-guitare, un peu à la Royal Blood.

«  Dragon Blood » leur premier single est aussi le premier morceau de l’album, le single qui leur a quand même permis de décrocher l’award de la meilleur chanson rock, qui nous propose une invitation direct avec des riffs de guitare et un univers très rock’n’roll. «  Tornado » plus rapide, plus brut, accompagne la voix rauque du chanteur, des riffs de guitare toujours présent, un rythme bien puissant, et une énergie. «  Devil’s King » a une mélodie rapide, puissante, entraînante, la mélodie est rapide tandis que la voix est lancinante, et nous invite à nous laisser totalement transporter. On aime la couleur brute et la saveur originale du morceau.

«  Pacific Air » est plus accrocheur dés son intro, toujours avec ses guitares pleines de rage, mais dés le refrain, c’est plus doux, c’est comme si on planait. Mais la musique est brut, c’est du rock’n’roll à l’état pur. Et les notes de la guitare électrique nous donnent des frissons. D’ailleurs, Black Tropics nous rappelle quelques peu Royal Blood dans cette univers très rock.

 

«  Temporal Distortion » offre un écho à la voix d’Yvan, qui sonne brut avec la guitare, on sent la volonté du groupe de vouloir faire quelque chose de brut, et de fou. Avec une touche de rock sexy. On sent la rapidité de la musique, la voix qui suit mais qui exprime bien ses mots. Et une musique brute, au naturel. « Light Years Away » est une ballade sombre et rock, en douceur. La voix est un écho, la guitare se fait plus douce, pour se caler à l’écho de la voix. Une voix lancinante, qui nous réveille à coups de guitare.

«  Black Tropics » donne son nom au groupe et à l’album, le titre est plus brut, plus pop, avec plus de rage aussi, tout en mélodie. On a des notes plus brutales sur «  Outlaw » tout aussi communes que sur «  Dust «  et «  Blue Dot », toujours sur des notes rock et une voix rauque, avec des notes de douceur . «  Invaders » a des notes plus douces, la voix est sexy, et toute aussi envoutante.

Black Tropics se distingue par son originalité et par sa volonté de vouloir faire du rock quelque chose de brut et d’envoutant. C’est du rock, du vrai rock comme on l’aime.

 

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